L’exécution forcée des décisions de justice
A défaut de recouvrement amiable, si vous disposez d’une décision de justice, ou titre exécutoire, l’étude KMCJ peut mettre à exécution cette décision.
Le Commissaire de Justice a le monopole pour mettre à exécution une décision de justice d’un créancier par toutes les voies d’exécution prévues par la loi.
Il a qualité pour effectuer toutes les recherches auprès des administrations (communication d’adresse, identification des établissements bancaires auprès desquels un compte est ouvert), et pour mettre en œuvre les procédures les plus adaptées à un recouvrement de vos créances.
Les principales voies d’exécution possibles :
- Saisie-attribution : permet de saisir les sommes détenues du débiteur par une banque ou un tiers,
- Saisie-vente : permet la saisie et la vente des biens meubles appartenant au débiteur à son domicile ou entre les mains d’un tiers,
- Saisie des rémunérations : permet de saisir dans les limites légales une part du salaire, des pensions ou des indemnités perçues par le débiteur,
- Saisie des droits d’associés et valeurs mobilières : les parts sociales, actions ou titres financiers détenus par le débiteur peuvent faire l’objet d’une saisie,
- Saisie-immobilière : consiste à saisir un bien immobilier appartenant au débiteur en vue de sa vente forcée,
- Saisie spécifique : comme la vente d’une licence IV, la saisie d’un véhicule terrestre à moteur, ou tout autre actif cessible,
- Procédure d'expulsion avec l’assistance d’un serrurier et de la force publique.